16 Janvier 2023

Une résolution facile à tenir grâce à la méthode Doyle

Apprendre l’anglais en 2023 : Une technique rapide et permanente développée par l’Académie Doyle

Québec, le lundi 16 janvier 2023 – En 2023, c’est le moment de réaliser ce rêve caressé depuis longtemps : parler anglais couramment ! Et pour une fois, en 2023, cette résolution sera facile à tenir grâce à la méthode Doyle, développée par Susan Doyle, fondatrice de l’Académie du même nom. Depuis 2005, Doyle a fait la démonstration qu’il est possible d’apprendre l’anglais 26 fois plus rapidement et de façon permanente. La méthode que Susan a mise sur pied, basée sur les neurosciences cognitives, affectives et comportementales, permet d’apprendre l’anglais langue seconde beaucoup plus rapidement que lors d’un parcours scolaire normal. En effet, l’impact sur le cerveau de l’étudiant fait toute la différence. Des centaines d’étudiants, provenant principalement du monde des affaires, ont complété avec succès la méthode Doyle qui a littéralement changé leur vie.

« Chaque année, plusieurs personnes prennent des résolutions et finissent par se décourager et abandonner. Ils pensent à tort qu’ils ont du mal à maîtriser l’anglais, ou toute langue seconde, parce qu’ils ne pratiquent pas suffisamment, ou qu’ils n’ont pas le temps ni les moyens d’aller en immersion », affirme Susan Doyle, présidente de l’Académie Doyle

« En 2023, ça n’arrivera pas ! Cette fois sera la bonne avec la méthode Doyle. J’ai mis 2 ans à développer une technique émotionnelle, expérientielle et existentielle, basée sur les neurosciences cognitives, affectives et comportementales. Les résultats sont durables, voire permanents. Je ne comprends pas que des gens puissent passer des années à stagner, plus ou moins au même niveau, sans obtenir des résultats significatifs », ajoute Susan.

La méthode 
L’objectif de l’Académie Doyle est le suivant : trouver et adapter les recherches de pointe en neurosciences cognitives à l’enseignement des langues, pour approfondir et accélérer les résultats. La méthode utilisée par l’Académie Doyle a été développée par Mme Susan Doyle au début des années 2000. Contrairement à la méthode traditionnelle, il n’y a pas de lien, même pas de comparaison avec la langue maternelle de l’étudiant. Les cours ne sont pas seulement basés sur la conversation ou le par cœur. L’Académie Doyle mise plutôt sur la neuroplasticité naturelle du cerveau et enseigne étape par étape, à apprivoiser le réseau cérébral du mode par défaut. En résumé, chez Doyle, les étudiants apprennent comme des enfants ! Les recherches et l’expérience ont démontré que les enfants, exposés à deux langues à un très jeune âge, apprennent la deuxième langue assez facilement. Pourquoi ? Parce que la plasticité de leur cerveau est adaptée à cet apprentissage. Ils sont capables de reconnaitre les sonorités différentes des langues auxquelles ils sont exposés. Ils prennent en compte deux façons de parler : dans leur langue maternelle et dans leur autre langue. Ils sont bilingues. Ils se créent eux-mêmes naturellement des boîtes langagières, puisqu’ils sont capables de discriminer les deux sonorités. C’est exactement ce que la méthode Doyle recrée pour les étudiants adultes. 

Concrètement, la méthode Doyle enseigne aux étudiants à vivre, à penser, à bouger, à agir, à prendre des décisions, à vivre en anglais au lieu de traduire. L’étudiant apprend à apprendre différemment. Il s’intériorise et se concentre. Il dépose ses acquis en utilisant quelques-uns des centaines de milliers de neurones qui sont produits naturellement et tente consciemment de les harnacher quotidiennement. Pour y parvenir, la méthode utilise le vécu, les souvenirs, les émotions et la vie des apprenants. Chaque jour, les étudiants établissent une routine; pendant 15 minutes, ils portent attention et bloquent systématiquement les idées francophones qui s’imposent tout naturellement à eux. Cette technique va permettre au cerveau par défaut* d’entrer en action malgré lui. Puisque c’est lui qui crée les routines de vie, il va tout mettre en œuvre pour créer ces routines en anglais. Petit à petit, le cerveau se transforme et solidifie les nouvelles connexions neurologiques ainsi créées. C’est ce que Susan appelle l’apprentissage permanent (durable) des langues. 

Les résultats 
Après plus de deux années de recherches et d’expérimentations alors qu’elle était enseignante pour une autre école d’anglais langue seconde, Mme Doyle va voir son patron, qui l’avait poussée à poursuivre dans cette voie, en affirmant qu’elle y était arrivée, que sa méthode était prête à être appliquée. Son patron de l’époque lui a alors dit : « Très bien, je vais te donner mon pire étudiant, afin que tu puisses tester ta méthode. Si tu réussis avec lui, tu pourras réussir avec n’importe qui. » Son pire étudiant était un homme au début de la cinquantaine qui prenait des cours d’anglais privés depuis plus de 8 ans. « Nous nous sommes donnés 6 mois », ajoute Susan Doyle. « Et, croyez-le ou non, nous avons réussi. Il a par la suite pu développer les marchés de l’Ontario, des Maritimes, et l’Amérique du Nord au grand complet pour le compte de l’entreprise pour laquelle il travaillait », complète-t-elle avec fierté.  

Depuis ce jour, l’Académie Doyle a permis à des centaines de personnes, pour la plupart des gens d’affaires, d’apprendre une langue seconde 26 fois plus rapidement. Ces personnes apprécient les résultats visibles et mesurables. Pour Susan Doyle, il s’agit d’une question d’éthique et de morale : « Notre code d’éthique est très simple : nous sommes des facilitateurs de la neuroplasticité du cerveau et nous mesurons les résultats. Je ne me sentirais pas de sentiment d’accomplissement, si j’enseignais à des gens pendant des années sans résultat. Quand ils quittent l’Académie Doyle, ils n’y reviennent pas, à moins d’avoir un désir de perfectionnement. Leur apprentissage est permanent. »

Mme Susan Doyle 
Ce sont les circonstances de la vie, et non sa formation académique, qui ont mené Susan Doyle à s’intéresser aux neurosciences. Sa fille souffrait, à cette époque, d’une forme d’épilepsie très rare. Les crises de « grand mal » étant extrêmement spectaculaires, les autres enfants avaient tendance à la fuir et sa fille à s’isoler. Comme elle ne souhaitait pas que celle-ci soit exclue, elle a débuté des recherches en neuroscience des émotions et du comportement afin de lui donner des trucs pour préserver ses relations avec les autres. Quelques années plus tard, alors qu’elle commence à enseigner les langues secondes, elle repense à ces recherches, se disant qu’elles pourraient s’appliquer à l’enseignement, et son patron l’incite à pousser plus loin. La méthode est si efficace que Susan Doyle ouvre sa propre école de langue seconde : l’Académie Doyle

Pour des résultats rapides et permanents en 2023, il n’y a aucun doute, la méthode et l’Académie Doyle gagnent à être connues ! 

L’une des fonctions du réseau cérébral du mode par défaut (default brain) est d’agir comme une sorte de pilote automatique qui se met en fonction quand l’esprit décroche. Il est toujours en éveil, 24 heures sur 24. En résumé, le cerveau par défaut est un réseau qui fait partie du cerveau mais qui se comporte différemment. Une autre de ses fonctions, une qualité très puissante qui le caractérise, c’est son habileté à créer des rituels, des habitudes et des routines. Il le fait pour faciliter la vie. Les routines sont agréables parce qu’elles font sauver beaucoup de temps et qu’elles sont en partie, réflexes. Elles permettent de faire les choses rapidement, les yeux fermés. La méthode d’apprentissage Doyle harnache donc le cerveau par défaut, en lui imposant une routine. C’est cette routine qui va enclencher l’accroissement de la vitesse de l’apprentissage. Apprendre devient agréable. L’étudiant le ressent. Semaine après semaine, il peut mesurer lui-même ses résultats.
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